2020-12-28

« J’ai tué mon AUTEUR » : commentaires d’un lecteur de la rive sud de Montréal

« Plonger dans la lecture du roman "J'ai tué mon AUTEUR" fait entrer de plein pied dans l'univers fromage de Gruyère de l'édition de bouquins.

Nous qui avons les pieds bien au chaud n'avons qu'à nous délecter du produit final des longues heures de labeur d'un auteur.

Maintenant que Victor Vanier a pris le contrôle de sa vie et du "talent" d'écrivain, poussera-t-il l'audace d'écrire un prochain livre intitulé "J'ai tué mon lect" ? Je sens déjà ma gorge se serrer.

L'idée d'inviter Ives d'Arch à l'émission vedette "Parlez-en" est fort habile, même si les deux participants ne se connaissent pas. Peut-on penser que les deux s'opposeront dans le cadre d'une nouvelle parution et que ce dénommé d'Arch nous sauver, nous pauvres lect. 

J'ai adoré. »

2020-12-21

« J’ai tué mon AUTEUR » : commentaires d’un auteur-lecteur de Montréal

« Hallucinant... vivre les sentiments d’un personnage sadique, contrôlé selon les envies de son créateur est un voyage éclaté et passionnant.

C’est marrant de voir le personnage découvrir et comprendre la « chaîne du livre ». Et une finale digne de ton talent. Félicitations cher Michel. Passionnant, instructif et divertissant...

J’ai déjà hâte à ton prochain ouvrage dont je réserve le premier exemplaire ! »

« J’ai tué mon AUTEUR » : commentaires d’un lecteur de la rive sud de Montréal

 

« Plonger dans la lecture du roman "J'ai tué mon AUTEUR" fait entrer de plein pied dans l'univers fromage de Gruyère de l'édition de bouquins.

Nous qui avons les pieds bien au chaud n'avons qu'à nous délecter du produit final des longues heures de labeur d'un auteur.

Maintenant que Victor Vanier a pris le contrôle de sa vie et du "talent" d'écrivain, poussera-t-il l'audace d'écrire un prochain livre intitulé "J'ai tué mon lect" ? Je sens déjà ma gorge se serrer.

L'idée d'inviter Ives d'Arch à l'émission vedette "Parlez-en" est fort habile, même si les deux participants ne se connaissent pas. Peut-on penser que les deux s'opposeront dans le cadre d'une nouvelle parution et que ce dénommé d'Arch nous sauvera, nous pauvres lect.

J'ai adoré. »

J’ai tué mon AUTEUR : commentaires d’un futur auteur de Québec

 


« Après avoir lu une trentaine de pages de « J'ai tué mon auteur », j'en suis rapidement venu à la conclusion suivante. 

Afin d'éviter que le personnage en devenir que je suis ne tombe aux mains de l'imaginaire d'UN auteur quelconque, je crois bien que je sauverai MON personnage en le mettant moi-même en scène dans MA biographie. Je l'aurai ainsi mis à l'abri d'usurpateur de personnage. »

2020-12-14

« J’ai tué mon auteur » : commentaires d’un lecteur de Québec

  

« … je suis en profond désaccord avec la thèse du livre.

Je ne remets évidemment pas en question les constats qui proviennent d'un vécu et de la réalité (Michel en connaît un chapitre de plus que moi sur la question), mais je suis très mal à l'aise avec ses solutions. Pour moi, les éditeurs sont nécessaires... même si la machine gagnerait à être améliorée. Ce n'est pas parce que certains éditeurs font mal leur travail que tous les éditeurs font de même.

Quant à l'autoédition, tous les écrivains n'affichent pas comme Michel des qualités et des compétences d'entrepreneuriat. Les éditeurs, c'est comme les concours pour atteindre des postes plus élevés, un tamis pas toujours perspicace ni efficace... sans autre alternative comparable.

Je conviens que les écrivains sont souvent exploités, ne gardant qu'une mince part du gâteau. J'ai aussi le sentiment que l'écriture est un métier comme un autre où on doit débuter au bas de l'échelle pour gravir les échelons, développer ses compétences, réseauter et finalement augmenter son pouvoir de négociation. Comme un jeune avocat qui doit passer des années à faire des recherches pour un salaire moindre que le laveur de planchers dans les hôpitaux, avant de plaider de grandes causes.

Ce qui me dérange le plus dans le livre, c'est le ton victimaire et complotiste, très dans l'air du temps. Malheureusement, je crois toujours aux institutions, toutes brinquebalantes soient-elles. Je crains par-dessus tout le capitalisme sauvage des Uber de ce monde.

Où je rejoins Michel, c'est dans le culte de la célébrité qui devient un gage de qualité, et l'apport des libraires (ainsi que des journalistes et chroniqueurs) pour partager leurs coups de cœur.

En langage cinématographique hollywoodien, J'ai tué mon AUTEUR est un high concept (où on peut résumer l'histoire en une phrase pour titiller le lecteur ou le spectateur). Contrairement à bien des "blockbusters", Michel ne se contente pas de sa bonne idée, mais la fait évoluer vers une mise en abîme vertigineuse. Malheureusement, c'est la portion acrimonieuse et revancharde qui reste en tête après la lecture. »

2020-12-07

« J’ai tué mon AUTEUR » : ce qu’en pense Norbert Spehner, chroniqueur littéraire

DE L’ASSASSINAT DE MON CRÉATEUR CONSIDÉRÉ COMME UN DES BEAUX-ARTS… ou CONFESSIONS D’UN TATOUEUR TUEUR

« Vous l’avez sûrement remarqué, à quelques rares exceptions près (i.e. Michael Draper), je ne présente jamais de romans publiés à compte d’auteur ou en auto-édition. Il me faudrait une chronique entière pour en expliquer les causes, mais disons brièvement qu’il y a trois raisons principales à cet état de choses, la première étant qu’une grande partie des romans publiés sont médiocres ou pires. Ensuite, il y ces romanciers qui ont tous les outils nécessaires pour réussir, mais qui, faute de travail éditorial, de direction littéraire pro ou de conseils avisés, s’en servent mal, avec des résultats peu convaincants. Et quand enfin, souvent par hasard, on déniche une perle rare, à quoi bon recommander un livre qui est peu ou pas disponible, faute de distribution adéquate ? Promotion absente ou limitée, sp [services de presse] inexistants, diffusion au compte-gouttes, etc… il y a beaucoup « d’orphelins » dans cette branche de l’édition.

Ceci étant dit, j’ai été assez intrigué par le concept original de « J’ai tué mon auteur », de Michel Roberge pour m’y plonger et le lire d’une traite avec beaucoup de plaisir. Laissons l’auteur présenter son projet : « Cette création littéraire est une fantaisie romanesque, ponctuée de va-et-vient entre fabulations et la réalité, portant sur les relations personnages-auteur-éditeurs-lecteurs. »

Son objectif : « divertir avec une touche pédagogique ». Objectif pleinement atteint dans les deux cas…

Dès la première partie, le lecteur fait la connaissance de Victor Vanier, dit le Tatoueur, un épouvantable tueur en série, protagoniste d’un roman, qui se sent victime de son auteur qui lui inflige un rôle de criminel sadique dans ce que Roberge, non sans humour, appelle « un thriller au succès mitigé ». Pour se venger, Vanier décide alors d’éliminer son créateur.

En fait, il ne s’agit pas d’une fiction, d’une histoire, mais bien d’une réflexion élaborée sur « le statut et la notoriété médiatique des écrivains ainsi qu’aux tenants et aboutissants de l’industrie du livre ». À travers les divagations amusantes du Tatoueur, c’est toute la genèse d’un roman qui est évoquée : les premiers éclairs d’imagination, quelques germes d’idées dans la tête de l’écrivain, puis la « naissance » des personnages, leur évolution, la rédaction des premières pages, les heures de travail, les relations avec le monde de l’édition, le stress des refus, le premier contrat, la première arnaque, la réalisation matérielle de l’ouvrage… avec force détails et anecdotes. Roberge nous promène à travers tout le processus d’édition avec ce que cela comporte d’effort, d’imagination, de persévérance, d’espoirs, de petits bonheurs… et de frustrations. Auteur de deux romans policiers publiés hors des grands circuits éditoriaux, Roberge sait de quoi il parle !

Bref, ce petit ouvrage original, bien écrit et très éclairant pourrait servir de matériel de réflexion dans certains ateliers d’écriture. Il devrait être lu par tous aspirants romanciers (pas seulement les auteurs de polars) qui rêvent de se lancer dans la grande et exaltante aventure des aléas de l’édition. 

P.S. en forme de bémol. Même si l’auteur justifie leur emploi, la présence systématique des majuscules est un irritant majeur, particulièrement agaçant et visuellement rébarbatif. Ça me rappelle les polars « tonitruants » de Billy Bob Dutrisac qui en abusait. Le lecteur est assez intelligent pour comprendre, pas besoin de lui enfoncer les mots dans la gorge ! » 

Source : Norbert Spehner (Facebook 2020-12-07)

2020-12-03

« Chronomeurtres » et « J’ai tué mon AUTEUR » : commentaires audio sur les ondes de la radio CKRL

Bärbel Renkel a parlé des romans Chronomeurtres et J’ai tué mon AUTEUR à la station radio CKRL de Québec à la 54e minute de l’émission « Les matins éphémères » le jeudi 3 décembre 2020 : https://bit.ly/3ourgGs


2020-12-01

J’ai tué mon AUTEUR : Commentaires d’une nouvelle lectrice de Saint-Jean-sur-Richelieu

 « Bonjour à tous. Je viens de finir ce roman de Michel Roberge.

 Premièrement WOW. Je n’ai jamais lu une histoire pareille qui touche un sujet super intéressant.

L’auteur a su mettre l’emphase sur l’écriture de son roman par la calligraphie particulière ainsi que par son histoire formulée de façon originale.

Bien qu’il n’ait pas beaucoup de pages (124), je l’ai dévoré. Ça vaudrait le coup que vous y jetiez un coup d’œil! J’ai ses trois livres et j’adore chacun de ses livres puisqu’ils touchent un sujet intéressant dans chacun ! Un auteur à découvrir !!! »

2020-11-23

À votre place, je me méfierais de Victor Vanier

La nuit dernière, les personnages du polar que je suis en train de lire (j'étais rendu à la page 361 sur 492) sont, à leur tour, venus troubler mon sommeil. Ils m’ont dévoilé la fin inattendue de l’intrigue qu’avait concoctée la romancière.. 

Ils ont franchi la ligne rouge leur interdisant de s’immiscer dans l’imaginaire d’un lecteur (ou d’un autre auteur) et de trahir celui de leur créateur. 

Je mettrais ma main au feu qu’il y a du Victor Vanier là-dessous ! 

Le personnage-auteur de J’ai tué mon AUTEUR aurait-il décidé d’élargir son champ d’action pour assouvir sa vengeance en ciblant également les lectrices et les lecteurs ? Et donner un nouveau souffle à l’exécution de sa sombre mission : libérer le plus grand nombre de ses collègues personnages de l’emprise de leurs AUTEURS respectifs ? 

Connaissant le profil psychologique de l’individu prêt à prendre tous les moyens pour sortir de l’ombre, permettez-moi un conseil d’ami. Restez sur vos gardes et à l’affût de l’intrusion dans votre sommeil des personnages des romans que vous lisez. Contrez leurs tentatives d’intrusion qui vous priveront du plaisir d’être étonné et les chassez-les de vos rêves. 

Question aussi de respecter les droits et les idées de tous les auteurs. Et, ce qui n’est pas à négliger, de protéger votre propre santé mentale. 

Si certains personnages de romans ont des relations troubles avec celles et ceux qui les ont imaginés, les lectrices et les lecteurs n’ont pas à être pris en otages. Ni à prendre parti dans ces conflits qui relèvent du domaine de la création littéraire.

2020-11-18

Une rencontre nocturne avec le personnage de « J’ai tué mon AUTEUR »

La nuit dernière, j’ai reçu la visite inopinée du personnage du roman J’ai tué mon AUTEUR. Victor Vanier voulait m’informer qu’il avait l’intention de créer une page Facebook et un site Web à son nom. Nous en avons discuté pendant près d’une heure. Vous pourrez suivre ses publications généralement le mercredi pour qu'elles n'entrent pas en conflit avec les miennes.

Il voulait entre autres s’assurer que j’allais relayer ses publications dans mes réseaux. J’ai accepté à condition que ses prises de position ne nuisent pas à ma réputation d’auteur qui a le plus grand respect pour ses personnages et pour les rôles que je leur attribue. En tant que créateur, j'accepte toutes les suggestions des protagonistes. Je me réserve toutefois les décisions finales sur le déroulement de l'action.

Il s’y est engagé.

J’en ai profité pour lui souhaiter tout le succès qu’il mérite dans la réalisation de ses projets de défense des droits des personnages, des auteurs et des éditeurs autonomes.

Nous nous sommes quittés en très bons termes.


2020-11-16

Chronomeurtres : commentaires de Richard Migneault, chroniqueur polar

 


Écoutez, en cliquant sur l'image ci-dessus, les commentaires de Richard Migneault, chroniqueur polar au Cochaux Show, animateur du blogue Polar, noir et blanc, directeur des collectifs Crimes à la librairieCrimes à la bibliothèqueCrimes au musée et Mystères à l'école publiés aux Éditions Druide et qui s’est donné pour mission de faire connaître les auteurs de romans policiers du Québec des deux côtés de l’Atlantique.

2020-11-09

Chronomeurtres : autres commentaires d'une lectrice de Québec

Comment « 
dire le plaisir que Chronomeurtres m'a apporté. 

Une intrigue originale, des personnages bien campés, un rythme soutenu, un décor si agréablement familier. 

Et, l'historien que l'on sent jamais très loin derrière l'écrivain, m'a fait découvrir plein de petits faits que j'ignorais. »

2020-11-02

Chronomeurtres : commentaires de Philippe Parrot (Morbihan, Bretagne)

Commentaires de Philippe Parrot, avaleur d'idées, tricoteur de mots, agenceur de rimes, auteur du poème contemporain 219, Instant magique, mentionné dans Chronomeurtres et résumant l’essence de l’intrigue policière :

« Qu'en est-il au juste de la nature de l'instant, ce Présent insaisissable et fugace qui, à peine surgi et vécu, a déjà disparu ? » Serait-il « magique » comme le laisserait supposer la fragrance d'un parfum de Guerlain ou, au contraire, « mortifère » comme doit, hélas, le constater Norbert Dionne, chargé d'enquêter sur une série de meurtres commis à Québec, la capitale de la province canadienne du même nom ? Ou, autre option, un esprit illuminé parviendrait-il à le rendre « immortel », en figeant son mouvement par un procédé mécanique ? Voilà bel et bien la problématique centrale de ce polar écrit par Michel Roberge.

Au fil de la présentation des différents protagonistes, au fil des investigations du policier comme des rebondissements de l'affaire, une « course contre la montre » s'engage donc entre un serial killer « philosophe » et le chef de l'UCM (Unité des Crimes Majeurs) qui, à quelques mois de son départ en retraite, veut absolument arrêter le criminel pour finir en beauté sa carrière.

Tout en nous faisant découvrir, au cours des pérégrinations des différents protagonistes, avec une minutie très « horlogère », les rues, les avenues, les places, les bâtiments de cette capitale que Michel Roberge aime manifestement, le lecteur prend plaisir à suivre les pas de ce flic attachant lancé à la poursuite d'un tueur maniaque de la rigueur et de la précision qui, désireux d'échapper aux affres du Présent au profit des béatitudes de l'éternité, ne trouve pas d'autre moyen pour y parvenir que de « suspendre » la vie d'autrui, convaincu que son mode opératoire singulier et fulgurant procure félicité et paix. Comme en témoigne d'ailleurs le sourire de ses victimes, a priori satisfaites de leur sort...

Suivant un rituel précis qui, au vu de l'objet déposé sur la scène de crime, symbolise parfaitement l'écoulement du Temps, le meurtrier ne cesse de narguer la police. Néanmoins, épaulé par une équipe d'adjoints compétents et motivés — dont la « sergente-détective » Marjolaine Bouchard, son efficace bras droit — Norbert Dionne parviendra, au prix d'un cadavre inattendu sur les bras, à faire que l'accès à cette « éternité » — octroyée à bon compte par la mort — cesse de devoir être payée au prix fort par des innocents choisis au hasard.

De toute évidence, tout lecteur interpellé par le Temps : son écoulement irréversible, sa fugacité confondante, son insaisissabilité consubstantielle, doit lire ce livre.

Avec mes salutations 

Philippe Parrot


2020-10-23

« J’ai tué mon AUTEUR » : premiers commentaires de la spécialiste en révision linguistique


La révision linguistique de mon troisième roman sera complétée au cours du week-end.  J’ai le goût de partager avec vous ces premiers commentaires :

« Curieux récit : façon amusante et inattendue de voir les choses. Peut paraître étrange… mais intéressant. Je psychanalyserais bien… l’auteur. (Ne m’en veuillez pas, Michel, je trouve ça très original). »

« Je me suis bien amusée avec l’histoire et j’ai apprécié aussi le parcours du combattant d’un auteur. Je l’ai vécu mais je vous trouve bien plus courageux et opiniâtre que moi ! Ne vous formalisez pas des réflexions faites en marge. Je crains que les lecteurs se posent des questions sur leurs propres facultés mentales !!! »

2020-10-21

Nouveau projet de publication pour le printemps 2021

Pendant que mon troisième roman, J’ai tué mon AUTEUR, est en cours de production, je travaille sur un nouveau concept de publication pour une sortie d’ici la fin du printemps 2021. Une idée qui avait germé en 2015, après les éditions illustrées de Da Vinci Code (2004) et de Anges et démons (2005) de Dan Brown, et que j’avais mise de côté pour diverses raisons. 

L’écriture d’ouvrages de fiction repose généralement sur une documentation importante qui, une fois le livre imprimé, dort dans les tiroirs du romancier ou prend la direction de la poubelle. Pourquoi ne pas faire profiter les lecteurs et les lectrices de ces données en rendant accessibles des informations complémentaires au récit ?

À suivre.

2020-10-16

Mes nouvelles d’auteur – Automne 2020 (2)

Ça y est, la révision finale du manuscrit de J’ai tué mon AUTEUR est maintenant terminée ! 

Les commentaires de quatre bêta-lecteurs (dont trois lectrices) ont permis de peaufiner le récit, renforcer la cohérence et apporter plus de clarté dans une histoire relativement complexe. Le texte vient d’être transmis à une professionnelle de la révision linguistique.

Le dernier droit avant l’échéance de mise en marché de ce petit roman, dont la thématique toujours d’actualité s’est invitée dans mon imaginaire créatif lors du Salon du livre de Montréal de 2016, est maintenant enclenché.

Le matériel pour la conception de la première de couverture est entre les mains du graphiste qui avait conçu celle de Chronomeurtres. J’ai bien hâte de vous la dévoiler vers la mi-novembre.

La sortie de ce troisième roman est toujours prévue avant la fin de l’automne 2020.  


2020-10-07

J’ai tué mon AUTEUR : résumé


Victor Vanier, le personnage principal d’un roman, se sent victime de son auteur lui infligeant un rôle de criminel sadique dans un thriller au succès mitigé. Il décide alors d’éliminer son créateur.

En un premier temps, il nous fait part de ses mésaventures, élaborées par son AUTEUR; puis, se sentant manipulé, il se transforme en auteur-éditeur, afin de prendre les rênes du pouvoir et assurer le plein contrôle de la publication du manuscrit.

Une invitation à un talk show de grande écoute lui permet enfin de montrer sa démarche de revalorisation liée au travail de ses homologues (les personnages) et des écrivains eux-mêmes de façon générale. C’est le moment pour ce grand personnage de savourer ses 20 minutes de gloire !

En effet, Victor Vanier, devenu intouchable, immonde assassin, créateur littéraire et nouvel entrepreneur culturel est, dès lors, convaincu d’avoir réussi à clamer la reconnaissance de ses pairs.

Son CRÉATEUR lui, celui qui l’a inventé, a échoué.

2020-10-05

Mes nouvelles d’auteur – Automne 2020 (1)


Le recours à des bêta-lecteurs est un exercice des plus motivants. Il permet de confirmer les pistes exploitées dans le déroulement de l’action d’un roman et de suggérer des avenues pour assurer le rythme de l’écriture. 

J’ai reçu, la semaine dernière, les suggestions de deux lecteurs aguerris (deux ex-professeurs : une de littérature et l’autre de philosophie) qui vont me permettre de produire dans les meilleurs délais la septième version de « J’ai tué mon AUTEUR ». Après quelques jours plutôt stressants en attente des résultats de tests de COVID-19 qui se sont avérés finalement négatifs.

Je reprends donc le collier en gardant comme objectif une sortie à la fin de l’automne 2020.

2020-09-20

Mes nouvelles d’auteur – Dernières de l'été 2020 (9)

 

La révision du manuscrit de J’ai tué mon AUTEUR progresse. Je viens de recevoir les commentaires et suggestions d’une première bêta lectrice qui permettront de produire la sixième version du texte.

Ce dernier sera soumis à deux autres bêta lectures à partir desquelles le manuscrit pourra être soumis à une révision linguistique ultime.

Comme le déclarait le poète, écrivain et critique français Nicolas Boileau : « Cent fois sur le métier remettez votre ouvrage », c’est dans les choses qu’on a retravaillées qu’on peut viser l’excellence. Mon troisième roman l'aura été au moins sept fois.

2020-09-14

Le titre de mon 3e roman

 


Découvrez le titre de mon troisième roman en cliquant sur l'image.




Chronomeurtres : bref commentaire d'un lecteur de Laval


« Une belle découverte, un style bien personnel et une histoire haletante ... prenez le " temps " de découvrir ce roman, " Chronomeurtres " de Michel Roberge. »

2020-09-12

Une diffusion à partir du Québec

Aucun de mes livres techniques et de mes romans de fiction en format papier ou numérique n'est disponible sur Amazon.

J’ai choisi de privilégier une diffusion nord-américaine à partir du Québec, dans le réseau des librairies indépendantes (via libraires.ca) ou dans la boutique en ligne des éditions Noir Québec

Les personnes intéressées à les acquérir depuis l’Europe et effectuer leur paiement  en euros via PayPal (il n’est pas nécessaire de détenir un compte PayPal pour payer la facture à l’aide d’une carte VISA ou MasterCard) peuvent les commander par courriel. Un devis de facture leur est alors transmis avec proposition de pour chacun des formats disponibles (papier ou numérique – PDF ou EPUB).

N.B. : tous les exemplaires en format papier sont livrés avec une dédicace personnalisée.

Source photo : acheterquebecois.ca

2020-09-06

Mes nouvelles d’auteur – été 2020 (8)


Révision en cours de mon troisième roman par une deuxième bêta lectrice. Bien hâte de prendre connaissance de ses commentaires et suggestions.

Gros travail de préparation du fichier numérique en vue de la nouvelle édition en format PDF et EPUB de mon premier roman Zébrures écarlates à paraître au cours des premiers mois de 2021. Il faut dire que l’éditeur initial avait choisi de ne publier que sur papier « pour éviter le piratage ». Avec comme conséquence une accessibilité limitée du livre en Europe, entre autres, en raison des frais de livraison. Aucune nouvelle impression sur papier de ce roman n'est prévue.

Correction d’une soixantaine de coquilles qui n’avaient pas été décelées lors de la révision linguistique. Réflexion sur une bonification souhaitable ou non du récit. Je lancerai bientôt une consultation auprès des lectrices et des lecteurs à ce sujet.

Je saisirai l'occasion pour colliger sur des fiches personnages, lieux, objets... la majorité des éléments descriptifs en vue d'assurer la cohérence avec une éventuelle suite en cours de documentation. J'utiliserai le logiciel Scrivener afin de planifier la structure du futur roman et y stocker tout le visuel et les documents en appui avec le récit fictif. 

2020-08-31

Zébrures écarlates : commentaires d’une lectrice qui m’encouragent à prolonger la vie de ce roman en publiant, en 2021, une version numérique format PDF ET EPUB

J’ai terminé ma lecture de Zébrures écarlates et... enfin ! Pour la première fois, je viens de lire un vrai polar québécois qui tient tête à bien d’autres grands auteurs internationaux qui combinent le côté historique, l’intrigue, le décodage, la déduction, la combinaison de deux continents, la recherche d’une vérité et une culture qui nous apprend. Entre autres, j’ai appris un nouveau mot à la page 548 (j’ai dû chercher dans le dictionnaire, hahaha). Plus loin, la description d’une pièce jouée lors d’un concert par Alain Lefèvre au Grand Théâtre a suscité ma curiosité. J’ai cherché dans Internet et pu l’écouter. J’adore quand un auteur nous instruit tout en nous captivant. 

Écrit dans un excellent français, avec parfois une pointe d’humour qui détend, de très belles descriptions des lieux et des personnages qui nous font croire à un film qui se déroule sous nos yeux, j’ai vraiment aimé cette histoire. Mon seul regret est de ne pas avoir mis la main sur ce livre avant. Dan Brown, Jussi Adler-Olsen, José Rodrigues Dos Santos font partie de vos favoris ? C’est sûr que vous allez aimer. En plus, l’auteur nous partage des recettes savoureuses, accompagnées de bons vins que les connaisseurs connaîtront. Je sentais les arômes en lisant. 

Je crois que c’est le point fort de Michel Roberge. La précision de ses descriptions qui, loin d’être ennuyantes, contribuent à la qualité du récit et à la représentation des personnages qui deviennent, au fil du temps, nos amis. Chapeau aussi à tout le côté historique lié à la Catalogne. 

Bref, un très bon moment. Et ce roman pourrait être aisément distribué à l’international. Son auteur dépasse largement plusieurs auteurs québécois connus à l’extérieur du Québec dans le même genre littéraire. On dit parfois que certains élèves dépassent le maître, c’est le cas ici. Bravo !

Source : Facebook - France Michel 

2020-08-27

Zébrures écarlates : commentaires publiés sur le site Babelio

 


Mes nouvelles d’auteur – été 2020 (7)

Je viens de terminer la révision de la version 5 de mon prochain roman à partir des commentaires et suggestions d’une première bêta-lectrice. 

Cette mouture est transmise aujourd’hui à une deuxième bêta-correctrice qui, en plus s’attarder au style, à la langue et à la fluidité de l’écriture, doit donner son avis sur l’histoire, son déroulement, sa crédibilité ainsi que les personnages pour la production d’une sixième version. 

Une troisième bêta-lecture est également prévue avant une révision linguistique professionnelle. 

Avec comme objectif, une publication de haute qualité.

 

À noter que le titre de cette fiction romanesque sur les relations personnages-auteurs-éditeurs-lecteurs sera dévoilé sur le site des éditions Noir Québec le lundi 14 septembre.


2020-08-17

Chronomeurtres : commentaires d’une lectrice du Lac-Beauport en banlieue de Québec

 « J’ai lu Chronomeurtres de Michel Roberge, il y a quelques jours. J’ai bien aimé et ça se passe dans la ville de Québec. 

On a l’impression de participer à l’enquête, car on connaît les lieux et ça fait même remonter des souvenirs (ce qu’on a vécu personnellement à certains endroits ou lors de grands événements). »

2020-08-15

Mes nouvelles d’auteur – été 2020 (6)


Le tableau de suivi de l’échéancier de production de mon troisième roman est maintenant prêt : 

  • Production du manuscrit
  • Commercialisation avant/post publication
  • Suivi de production
  • Lancement du livre
  • Vente en ligne

Je viens de soumettre en version 4 les corrections et les ajustements au texte à partir des commentaires reçus en première bêta lecture. Je pourrai par la suite produire la cinquième version. 

Je souhaite par la suite proposer le texte à une ou deux autres personnes avant de finaliser le manuscrit et le lancer en production dont la première étape sera la révision linguistique et orthographique.

2020-08-11

Chronomeurtres : commentaires publiés sur Babelio et sur le blogue « Les mille et un livres » de Martine Lévesque

Un bon roman policier, bien écrit, un auteur qui m'a fait passer par toute une gamme d'émotions et de questionnement. Comme le titre l'indique, on va se retrouver au cœur d'une intrigue qui met l'accent sur un maniaque obsédé par le temps. L'auteur ose, en liant son intrigue policière avec de la philosophie, en citant plusieurs ouvrages d'illustres auteurs et théories des penseurs remarquables. La trame du roman est sur le contrôle de l'humain sur le temps, est-il possible de trouver la façon de le réguler comme on veut ? 

Michel Roberge a une plume intéressante, il a écrit un bon roman d'enquête qui garde le lecteur connecté du début jusqu'à la fin. Un beau voyage au cœur des alentours de la ville de Québec, on arpente les rues, la rue des Remparts, le poste de police sur Saint-Joseph, un des personnages travaille à l'Hôtel-Dieu de Québec. Plusieurs moments importants qui sont bien connus autant des Québécois que de ses visiteurs, le Carnaval de Québec, la course Lévis-Québec, etc. On prend un bon bain du Québec en lisant ce roman. 

Pour ceux qui ont lu l'autre roman Zébrures écarlates de Michel Roberge, ne vous attendez pas à retrouver le même genre, mais la plume franche, directe et intrigante de l'auteur, ça oui, tout comme son intrigue bien soutenue, et un dénouement qui peut vous surprendre. 

Source : Babelio et Les mille et un livres

2020-08-03

Chronomeurtres : commentaires d’une lectrice de Québec

« Je viens de terminer un polar québécois qui m’a bien fait chercher des solutions pour une énigme chiffrée : Chronomeurtres. 

J’ai essayé plusieurs théories, mais... 

Bravo à Michel Roberge ! 

C’est plaisant d’encourager nos auteurs d’ici. En plus, l’action se passe dans notre belle ville de Québec. »


2020-08-02

Mes nouvelles d’auteur - été 2020 (5)

Mon coin d’écriture d’été où je viens de terminer la version 3 de mon troisième roman qui s’en va en bêta lecture pour commentaires et propositions de corrections : 

  • 25 000 mots (146 685 caractères)
  • 110 pages (Times New Roman 12 points – double interligne)

pour le moment.

Selon l’échéancier initial, il devrait être publié au début décembre 2020, à temps pour faire partie de l’offre de cadeaux de Noël.

Je devrais être en mesure d’en dévoiler le titre d’ici la fin septembre, le synopsis en octobre et la couverture de première au cours du mois de novembre. Il sera évidemment publié aux éditions Noir Québec après une révision linguistique finale pour en assurer la qualité littéraire.


2020-07-29

Il y a polar et polar

Un polar est le nom familier qui désigne une œuvre relevant du genre policier, par exemple un roman policier ou un film policier. Wikipédia le définit ainsi :

« Le drame y est fondé sur l'attention d'un fait ou, plus précisément, d'une intrigue, et sur une recherche méthodique faite de preuves, le plus souvent par une enquête policière ou encore une enquête de détective privé. […] Le genre policier comporte six invariants : le crime ou délit, le mobile, le coupable, la victime, le mode opératoire et l'enquête. Le roman policier recouvre beaucoup de types de romans, notamment le roman noir et le roman à suspense ou thriller. Si l'action est transposée au minimum d'un siècle en arrière, on pourra le qualifier raisonnablement de roman policier historique. Il existe également des romans policiers de science-fiction. » 

Plusieurs lecteurs et lectrices confondent ce type de littérature avec celle qui se spécialisent à mettre de l’avant des scènes sanglantes, d’épouvante, de terreur, d’horreur à la limite du soutenable. 

Car il y a polar et polar. Personnellement, des auteurs soft tels que Michael Connelly (USA), Henning Mankell (Suède), Arnaldur Indridasson (Islande), Pierre Lemaître (France), pour ne nommer que ceux-là, sont des classiques inspirants du genre dont j’apprécie la lecture… et l’écriture d'histoires sombres.

Il n’est donc pas surprenant que les intrigues imaginées dans mes romans n’aient pas pour objectif premier de faire frissonner d’effroi ou de terreur mon lectorat. J’édite des polars, aussi des romans noirs ou des thrillers avant tout divertissants avec une touche historique et pédagogique, dans les décors noirs de la ville de Québec.

C’est là ma « marque de commerce » et je n’ai pas l’intention d’en déroger.

2020-07-26

Mes nouvelles d’auteur - été 2020 (4)



Mon troisième roman : écriture en cours de la première version des chapitres de la deuxième partie (premier chapitre complété). Épilogue déjà rédigé.

19 123 mots (100 070 caractères)
75 pages (Times New Roman 12 points – double interligne)


Ça progresse, lentement mais sûrement, avec l’assistance des deux principaux personnages qui profitent de certaines nuits d’insomnies pour orienter le récit… à leur faveur J.

Ce roman qui devrait paraître d’ici la fin de l’année 2020 en format papier et numérique (PDF et ePub) aux éditions Noir Québec.

2020-07-23

Chronomeurtres : commentaires d’une lectrice de Saint-Nicolas



« J’ai lu Chronomeurtres avec grand plaisir! J’ai beaucoup apprécié suivre l’intrigue dans notre belle ville de Québec. J’ai hâte au prochain. En attendant, je vais commander Zébrures écarlates que je n’ai pas encore lu et qui va aller rejoindre ma belle PAL de l’été. »

2020-07-13

Mes nouvelles d'auteur - été 2020 (3)


Chronomeurtres : commentaires d’un lecteur de l’île d’Orléans, en banlieue de Québec

« J’ai enfin lu, en peu de temps, ton plus récent roman et suivi les subtils  « chronocrimes » de ton Bruno Harvey en ces lieux qui nous sont si familiers. Je pensais à phrase de Jean D’Ormesson qui, dans Au plaisir de Dieu, parlait du «temps qui passe et du temps qui dure».

Ton « thriller » est une belle invitation à réfléchir sur la notion du temps, sur le balancement de la pendule qui dit oui et qui dit non, comme le chantait Brel.   

Bravo et merci pour cet agréable moment de lecture. »

Chronomeurtres : commentaires d’un ami auteur de LaSalle (Montréal)

« Que de plaisir j'ai eu. Le style, les mots choisis, la description précise des sites où une scène donnée se déroule, l'intrigue et suivre Bruno dans son délire fut une aventure passionnante.  

Entre la seconde "infinitésimale" où je me suis mis à la rédaction de ce petit mot et le temps où je l'aurai terminé, plusieurs secondes seront passées, donc, effacées du futur. Mais c'est dans un futur proche que j'ai hâte de vous revoir, toi et Denise, pour trinquer à l'amitié et à ton talent d'auteur.  

Tu comptes en moi, un membre fidèle de ton lectorat qui ne se peut déjà plus d'attendre cette prochaine seconde "infinitésimale" où tu nous feras l'annonce de ton prochain ouvrage. »

2020-07-11

Mes nouvelles d’auteur - été 2020 (2)


Mon troisième roman en cours d’écriture et qui devrait paraître aux éditions Noir Québec d’ici la fin de l’année 2020 en format papier et numérique (PDF et ePub) 

Je viens de terminer la version 3 du prologue et des neuf chapitres de la première partie.

  • 15 389 mots (81 429 caractères)
  • 60 pages (Times New Roman 12 points – double interligne)

 Je peux maintenant m'attaquer à la deuxième partie et à l'épilogue.

2020-07-02

Chronomeurtres : commentaires d’une lectrice de Charlesbourg



« Je viens de terminer la lecture de Chronomeurtres. Cette lecture divertissante m’a fait revisiter ma ville tout en me gardant captivée par les sombres desseins du tueur.

Merci pour ces bons moments de lecture ! »

2020-06-29

Chronomeurtres : un Dan Brown hyperlocal (Québec Hebdo)

« Rares sont les romans policiers bien écrits et d’envergure qui se passent exclusivement dans la Capitale. C’est le cas pour le deuxième ouvrage de Michel Roberge, Chronomeurtres, dont le principe bien ficelé n’est pas sans rappeler un Da Vinci Code, plus facile à suivre et plus local. 

Chronomeurtres raconte la descente aux enfers meurtrière d’un déséquilibré obsédé par le temps et l’idée de le contrôler. L’intrigue est bien menée et les personnages sont tout en nuances. L’enquêteur peut avoir des accès de rage et le meurtrier a des côtés attachants. 

Un fond de philo 

L’intrigue policière et les motifs du tueur se déroulent sur fond de philosophie. Le temps, thème central du livre, est décliné à la fois en références théoriques et en essais pratiques. Comment le contrôler et ainsi, maîtriser la vie et la mort? Des questions larges et complexes que se pose le tueur, fils d’horlogers, qui au gré de ses lectures de célèbres philosophes et théoriciens, va vouloir en faire sa propre expérience. 

La place centrale de la ville 

Dans le roman, l’enquêteur habite Charlesbourg et travaille au poste de police sur Saint-Joseph [Saint-Sacrement]. Le meurtrier habite rue des Remparts et travaille à l’Hôtel-Dieu. Les clins d’œil à des attractions ou événements propres à la capitale ne manquent pas, marathon Lévis-Québec, restaurant du Concorde [Hilton], Carnaval, festivités du Nouvel An… Ceux qui connaissent bien Québec s’y sentiront assurément chez eux et ceux pour qui c’est une destination exotique auront l’impression d’y être et de la découvrir. Point bonus à la description de la centrale Victoria et à celle du maire de la ville, qui sans être nommé, fera sourire tous ceux qui l’ont croisé ou le connaissent simplement de réputation. 

La psychologie du reste des personnages aurait pu être davantage travaillée et la chute a des petits airs de déjà-vu, mais le polar de Michel Roberge se mérite sans conteste une place chez les libraires aux rayons de polars locaux pour la qualité de la plume et l’originalité du thème. »

Perrine Gruson (Québec Hebdo, 26 juin 2020)

2020-06-27

Mes nouvelles d’auteur - été 2020 (1)


J'ai le plaisir de vous informer que je suis actuellement en mode écriture afin de compléter une troisième fiction qui devrait paraître aux éditions Noir Québec d’ici la fin de l’année 2020 en format papier et numérique (PDF et ePub).

Un roman noir qui jettera un regard ironique sur l'écosystème de l’édition. Avec un personnage principal qui « en veut à mort » à son auteur l'ayant entraîné, bien malgré lui, dans une aventure aux conséquences insoupçonnées.  

Ce sinistre individu est venu me hanter au plus fort de la pandémie  afin que je termine cette sombre histoire lui permettant de donner libre cours à son funeste projet dans une chute de son cru. 

Au moment de publier ces quelques lignes, déjà plus de 15 000 mots  (une soixantaine de pages à doubles interlignes - 10 chapitres) sont stockés en infonuagique. 

Au cours des prochaines semaines, vous pourrez suivre l’évolution du projet (titre, couvertures de première et de quatrième, lancement et diffusion) ici même, sur mon site Web.