2015-04-30

Planification du lancement de mon roman mettant en vedette le premier détective archiviste


Ce roman devrait être disponible vers la fin du mois d’octobre 2015. Il n’est jamais trop tôt pour en planifier le lancement. 

J’ai évidemment comme objectif d’en faire la première présentation publique à Québec, sur les lieux mêmes où débute cette enquête archivistique : à la Librairie Pantoute. J’aimerais bien en faire un lancement à Trois-Rivières, peut-être au Cégep qui m’accueille chaque année afin que je puisse rencontrer les étudiants en techniques de la documentation pour leur parler du métier que je pratique depuis 40 ans. Et probablement deux dans la région de Montréal : un dans la métropole en collaboration avec la communauté catalane de Montréal et un autre dans une ville qui est en lien avec un des personnages d’origine catalane. Et, pourquoi pas aussi dans le cadre d’un événement sur le Web.


Dans tous les cas, en plus de la population en général, j’aimerais inviter tout particulièrement les spécialistes du métier des archives. À valider avec la maison d’édition. 

2015-04-28

Niveau de langage des personnages québécois de mon roman


Lors de la rédaction de la première version du polar archivistique que j’ai imaginé, j’avais fait le choix d’utiliser la langue parlée québécoise, particulièrement pour mes deux personnages principaux résidents de Québec. Situation normale pour l’un des deux provenant d’un milieu plus modeste, surprenant pour l’autre, fils de professionnel d’un quartier huppé. C’est la remarque que m’avait faite une des lectrices de mon manuscrit. Surprenant parce que certains éléments de la vie de ce dernier ne seront révélés que dans la suite de l’aventure, avais-je répondu.

Devant le refus du manuscrit par certains éditeurs, dont un de France qui justifiait sa décision, entre autres, à cause de « l’ambiance trop québécoise », j’ai réécrit le tout dans une langue française dite plus « universelle » avant de l’expédier à d’autres maisons d’édition.


Mon éditeur a en main les deux versions. Lorsque s’amorceront les travaux menant à la publication finale, nous devrons faire un choix.

2015-04-23

Le bref séjour du héros sur le Carrer de la Força, à Girona


Il y plusieurs années, en mai, j’avais été invité à donner un cours de gestion documentaire à l’Universitat de Girona. On m’avait alors logé dans le quartier juif, sur le Carrer de la Força, à deux pas de la magnifique cathédrale dont la cloche annonçait jour et nuit, avec insistance, l’heure et les demi-heures. Un appartement de rêve sur deux étages avec salle de séjour et cuisinette au rez-de-chaussée avec un escalier en colimaçon menant à la chambre et à la salle de bain. Le tour agrémenté d’une vue superbe sur un jardin luxuriant. Un souvenir impérissable. J’ai donc sans difficulté intégré ce lieu mémorable dans la trame géographique du polar archivistique qui sera disponible à l’automne.

2015-04-21

Profession : détective archiviste


Je rêvais depuis longtemps d’un héros de roman archiviste qui sorte de l’ordinaire. Un personnage qui évolue dans le merveilleux monde des archives, domaine que je connais très bien depuis bientôt 40 ans. Une figure de proue nationaliste qui a à cœur la protection du patrimoine documentaire défenseur de valeurs universelles : l'engagement, le courage, la liberté, la fidélité. Un protagoniste qui a commencé sa carrière dans une institution nationale d’archives pour, à la suite de circonstances imprévues, se muter en détective enquêteur, à la recherche de précieux documents perdus ou volés. Non sans conséquences dommageables sur sa vie privée.

2015-04-16

Les ingrédients d'un bon polar


Dans un article publié dans le journal Le Soleil de Québec le 11 avril 2015 (p. A4), la journaliste Isabelle Houde rappelait « Les ingrédients d’un bon polar » que l’auteur de Polar Claude Forand avait tenté d’expliquer à des jeunes dans un atelier en ouverture du Salon du livre de Québec :

  • la recherche pour rendre le récit vraisemblable;
  • une intrigue reposant sur un plan écrit et détaillé ou sur un schéma mental sommaire pour assurer la cohérence de la narration;
  • un enquêteur vedette hors du commun;  
  • le lieu où se déroule l’intrigue, comme « un personnage à part entière ».

Vous serez bientôt en mesure de juger si j'ai réuni ces quatre ingrédients dans le roman que vous pourrez lire au cours des prochains mois.

2015-04-14

Salon international du livre de Québec


De passage au Salon international du livre de Québec (SILQ) 2015 qui s’est tenu au Palais des congrès de la Capitale nationale du 8 au 12 avril, j’ai fait un arrêt au kiosque des Éditions GID qui publieront mon polar archivistique dans quelques mois. À pareille date, l’an prochain, j’y serai pour rencontrer les lecteurs. J’ai bien hâte de vivre cette première expérience.

2015-04-09

Le titre de mon roman et le nom de mon héros


Dès qu’ils seront confirmés par ma maison d’édition, je me ferai un plaisir de vous faire découvrir le titre de mon polar mettant en vedette le premier détective archiviste de la littérature québécoise, voire de la Francophonie. Ainsi que le nom que j’avais choisi il y a de ça quelques années, alors que je mûrissais l’idée d’écrire une œuvre de fiction en m’alimentant, entre autres, d’un certain nombre de faits vécus ainsi que de l’histoire du Québec et de la Catalunya pour y intégrer des personnages imaginaires porteurs de valeurs progressistes.

2015-04-07

Quelques statistiques à propos de mon polar archivistique


Les maisons d’édition évaluent un manuscrit, entre autres, sur la base du nombre de mots qui se répercutera sur le nombre de pages de la version publiée. Le récit qui raconte une enquête de mon détective archiviste est composé de 173 884 mots répartis dans 58 chapitres + un prologue et un épilogue. Pour les amateurs de statistiques, on y retrouve au moins 64 personnages principaux et secondaires : 33 québécois, 23 catalans et 8 français. L’action se déroule dans 11 lieux géographiques : 5 villes ou villages au Québec, 3 en France, 2 en Catalunya et 1 aux États-Unis.

2015-04-02

Dans certaines circonstances, il faut savoir suivre le rythme


En musique, le tempo (de l'italien tempo : « temps » est l'allure, la rapidité relative, la vitesse ou encore le mouvement) d'exécution d'une œuvre musicale. Il se découpe d'un compositeur à l'autre entre neuf et treize tempos progressifs : grave, largo, larghetto, lento, adagio, andante, andantino, moderato, allegretto, allegro, vivace, resto et prestissimo. Il peut aussi résulter d’un événement inattendu et rythmer une portion d'un récit. C'est effectivement le cas pour le détective archiviste du polar que je lancerai au cours de l'automne prochain.