2017-11-28

Une première nouvelle noire : « Le festin de Toupie »


Pour vous faire patienter pendant que je réécris les 40 chapitres de mon deuxième roman, j’ai le plaisir de partager avec vous le texte d’une première courte nouvelle noire que j’avais en tête depuis plusieurs semaines avec une chute qui, je l'espère, vous fera frissonner d'horreur : 




Bonne lecture !



2017-11-21

Zébrures écarlates : commentaires d’un lecteur de Saint-Tropez


Je viens de finir les Zébrures Écarlates de Michel Roberge.

Dès les premières pages, Michel Roberge nous plonge dans l’intrigue. Un air de « Da Vinci code » qui nous fait dire que ce roman ne sera pas facile à lâcher. L’auteur nous fait voyager dans l'espace et le temps à la recherche des pièces d’un puzzle surprenant.

Le sujet, brûlant d’actualité, amène à s'interroger sur la part de fiction/réalité du récit.

Même si les détails sur la vie de couple du détective ont pu parfois me paraître superflus, l’auteur a su peindre des personnages charismatiques et des lieux dans lesquels nous avons l’impression d’évoluer avec eux.

J’ai eu la chance de rencontrer Michel Roberge dans sa chère ville de Québec et je n’ai pas été surpris de retrouver sa générosité dans l’écriture de ce roman.

En somme, merci pour cette belle aventure.

2017-11-14

Des nouvelles de mes projets de publications


Le manuscrit de mon deuxième roman, un polar qui a pour thème le temps (le temps qui passe, le présent qui n’est que passé et le futur, un passé en devenir), a franchi l’étape de la deuxième lecture chez un éditeur montréalais. Une rencontre est prévue le 17 novembre, à l’occasion du Salon du livre de Montréal. Je me croise les doigts.







Le texte de ma troisième fiction, un monologue satirique, noir... et létal mettent en vedette un personnage en rupture avec son créateur (un nouvel auteur pris au piège dans le monde idyllique de l'édition), mijote sur le feu.






En cours de production, la recherche documentaire pour la rédaction d’un quatrième récit : un thriller, qui se déroulera dans un village fictif du nord de la Catalogne et dans le Roussillon, quelques mois avant référendum sur l’indépendance et le jour de sa tenue le 1er octobre 2017.







2017-11-07

Zébrures écarlates : avis reçu de la part d'un lecteur de Granby

(1)

L’idée de créer un personnage détective-archiviste est excellente. Même si je ne suis pas un grand lecteur de polar, cet archiviste apporte quelque chose de nouveau dans l’univers des Simenon, Christie et Conan Dole et suggère que tels un Hercule Poirot, ou un Maigret, Ives d’Arch pourrait connaître d’autres aventures.

Tout au long de « Zébrures écarlates », on sent le souci du détail de l’ancien archiviste [des] ANQ [Archives nationales du Québec] et son vécu. La trame de l’histoire (qu’on croirait authentique… si on ne lit pas la note de l’auteur) est captivante, et, par les temps qui courent… on ne peut plus d’actualité. En passant, des années, après avoir lu « Le cinquième cavalier » de Lapierre et Collins, je me demande encore si cette histoire n’est pas réelle, c’est dire à quel point un auteur peut imprégner son récit de réalisme. De plus, lire un roman (fiction) duquel on apprend quelque chose est toujours passionnant sans compter que, comme tout bon lecteur, se retrouver dans un décor, une ville, qu’on a jadis visité et aimé accentue le plaisir de lire.

La plume est souple, l’écriture riche et fluide. Visiblement [l'auteur possède] autant de connaissances que d’affection pour la Catalogne. Les décors sont bien plantés, les personnages sensiblement dessinés et les dialogues reflètent habilement leur personnalité : quant à la structure du roman (aller-retour entre les époques), elle permet au lecteur de découvrir peu à peu les tenants et les aboutissants de ce « faux » « imbroglio historique ».
      
Mon petit bémol, l’histoire gagnerait en efficacité si le récit avait été plus resserré, le rythme en est parfois ralenti par des scènes qui n’ajoute pas à l’histoire centrale qui est la recherche du document…


(1) Cour intérieure de l'Arxiu de la Corona d'Aragò à Barcelone, à deux pas du Palau de la Generalitat, dans le Barri Gotic, lieu de disparition du document que recherche le détective archiviste québécois Ives d'Arch.