2016-10-26

Pourquoi j’écris




Pour paraphraser Martin Page (Manuel d’écriture et de survie. – Paris : Éditions Points, 2015 – page 117) :


J’écris parce que je porte des histoires et des personnages en moi, parce que je désire être publié, parce que je souhaite être lu, parce que j’aime ça.

2016-10-25

Zébrure écarlates : une soirée d’Halloween mémorable


Découvrez, vous-aussi, la surréaliste soirée d’Halloween 2008 du détective archiviste Ives d’Arch, en compagnie, entre autres, de Leonard Cohen, des Dales Hawerchuk, de Heifi Hauge… et d’un zèbre :

2016-10-18

Zébrures écarlates : causerie au Collège Lionel-Groulx


Le mercredi  26 octobre 2016, à l'heure du midi, j’aurai le plaisir de rencontrer les étudiants en Techniques de la documentation du Collège Lionel-Groulx à Sainte-Thérèse. L’activité prendra la forme d’une causerie intitulée « De l’idée d’un roman à sa disponibilité en librairie ».

À l’aide de certains documents qui ont mené à la parution de ma première œuvre de fiction, je présenterai ma démarche d’écriture ainsi que les étapes à franchir avant la réalisation du rêve de tout écrivain potentiel : tenir dans ses mains le fruit de son imagination et s’imprégner de « l’odeur de la cellulose et de l’encre d’imprimerie ».

2016-10-11

Rencontre littéraire autour d’un bon café


Aujourd’hui, j’ai le plaisir de rencontrer à Québec Marta Tàpias Sabé, de Barcelona, qui vient de terminer l’écriture de son premier roman qui sera prochainement publié en Catalunya. Une belle occasion d’échanger, autour d’un bon café, sur la littérature québécoise et catalane et l’édition de romans dans nos deux pays.

2016-10-04

Zébrures écarlates : l’origine du nom du détective archiviste Ives d’Arch


En faisant du ménage dans mes archives personnelles, ce qui veut dire détruire ce qui est devenu inutile et réorganisation des traces des activités professionnelles et personnes passées, j’ai retrouvé ce premier manuscrit. Amorce d’une fiction qui n’avait eu de suites. Un texte d’une dizaine de pages, rédigé en 1993-94 (?), qui débutait par quelques mots qui se sont gravés dans ma mémoire : « Les carpes de l’Onyar suffoquaient… » Un début de récit mettant en vedette un personnage fictif, à Girona (Catalunya) : Yves d’Arche (sic), hé oui! C’est étrange : j’ai à la fois hâte et une certaine appréhension de le relire après toutes ces années. À suivre.