2015-01-30

C'est confirmé : mon roman sera publié


La capsule précédente avait été rédigée le 18 janvier dernier. Le jour où j’avais terminé la 9ième révision de mon manuscrit. Je l’avais alors expédié en format électronique à quatre maisons d’édition québécoises. Dans deux cas, il s’agissait d’un deuxième envoi.

Le 20 janvier, je recevais un courriel des Éditions GID manifestant leur intérêt à publier le texte que je leur avais envoyé en mars 2014 : « Je me souviens d'avoir pris connaissance de votre manuscrit […] et de l'avoir apprécié. D'ailleurs, je vous avais écrit quelques commentaires élogieux. Bref, je vous annonçais l'intérêt des Éditions GID à le publier. Peut-être que cette lettre ne vous est jamais parvenue! Quoi qu'il en soit, je vous expliquais brièvement que Les Éditions GID aimeraient bien éditer votre ouvrage […] c’est avec plaisir que je vous accueillerai à nos bureaux pour en discuter. »

Pour des raisons informatiques obscures comme il en existe parfois, je n’avais jamais reçu le premier courriel !

L’entente a été signée six jours plus tard. Les prochaines capsules vous permettront de suivre les étapes de production jusqu’à la publication finale.


Un beau cadeau d’anniversaire, non ?

Un cadeau d’anniversaire

Ce serait un très beau cadeau d’anniversaire que de recevoir, aujourd’hui, un appel ou un courriel d’un des éditeurs chez qui j’ai déposé mon manuscrit et m’invitant à signer mon premier contrat d’édition. Non ?

2015-01-29

La musique est très présente dans la vie des personnages de mon roman

Dans mon polar archivistique mettant en vedette le premier détective à la recherche de documents disparus ou volés, la musique y jour un rôle important. Elle accompagne les personnages principaux, traduit leurs sentiments, est source de pulsions et fournit même des pistes de solutions. Quand vous lirez le roman, vous pourrez les écouter : ce qui contribuera certainement à vous intégrer dans la trame romanesque. Elles sont presque toutes disponibles sur YouTube.

2015-01-28

La fiction reprend ses droits sur la réalité

Afin de rendre crédible le récit fictif de mon polar archivistique, j’ai fait évoluer mes personnages dans des lieux géographiques québécois, catalans et français réels que vous pourrez découvrir ou revoir. À quelques exceptions près puisque depuis la fin de l’écriture certains établissements n’existent plus ou ont changé d’allure. À Québec, c’est le cas du restaurant des Frères de la Côte qui a été réaménagé dans de nouveaux locaux, dans le Vieux-Québec et du Flagrant Délice situé dans l’ancienne ville de Sillery et dont le nom et la décoration intérieure ont été changés. Le disquaire Archambault de la rue Saint-Jean est fermé depuis quelques mois. À Barcelona, depuis quelques années, les Ramblas sont envahies par des kiosques clinquants qui en ont passablement modifié l’ambiance. 

2015-01-27

Un cantique émouvant qui vous donne le frisson

La première fois que j’ai entendu, en Catalunya, le Virolai, ce chant de louange à la Vierge noire de Monserrat composé en 1880 et généralement interprété par l’Escolania Monserrat, j’ai été, je l’avoue, chamboulé. Particulièrement lorsque le refrain a été entonné en chœur par les fidèles qui assistaient à la cérémonie religieuse. J’ai décidé de faire vivre cette expérience à certains de mes personnages.


2015-01-26

Des souvenirs qui émergent en roulant sur l’autoroute

Nous avons probablement tous eu l’occasion de rouler, dans une voiture, sur une autoroute avec comme seule passagère la radio. J’ai imaginé une scène où quelques notes en finale d’une chanson déclenchent chez un des personnages de mon roman (dont j’ai d’ailleurs hâte de vous en dévoiler le titre) un retour dans le passé lui faisant revivre un moment intense de son adolescence qui l’a transformé pour la vie.

2015-01-23

Hanté par mes personnages de la première à la dernière page

Pendant les six mois d’écriture à raison de deux jours/semaine de la première version de mon roman, presque tous les personnages m’ont rendu visite, certaines nuits, pour me raconter des bribes de leur histoire, voire pour que j’apporte des corrections au récit. Lorsque j’ai terminé le dernier chapitre, ils m’ont quitté, mais promis de revenir si je récidivais dans une suite.

2015-01-22

Qui a bu reviendra

Dans la capitale catalane, sur la Rambla, près de la Plaça de Catalunya, une fontaine autour de laquelle se rassemblent les partisans du FC Barcelona à chaque fois que celui-ci remporte une victoire est célèbre pour sa légende : « celui ou celle qui boit de son eau reviendra à Barcelona ». Une belle superstition qui peut permettre d’espérer une suite du premier polar mettant en vedette un détective archiviste. Ça marche, en tout cas, pour retourner à Barcelona.

2015-01-21

Fiction et réalité : la liberté de raconter sans contraintes

Dans ma carrière professionnelle, au cours des 40 dernières années, j’ai écrit plus d’une dizaine d’ouvrages techniques, des articles dans différents périodiques, des guides d’utilisation de logiciels, des rapports… avec les contraintes inhérentes à de telles publications. Créer une fiction avec des personnages inventés de toutes pièces intégrés dans une trame historique réelle, dans un milieu professionnel et des lieux géographiques que je connais bien m’a procuré une satisfaction sans borne de liberté d’écriture. Comme vous pourrez le constater si…

2015-01-20

Fraises, chocolat et champagne : un traitement royal

Après une journée marquée par le stress, quoi de mieux pour un des personnages principaux de mon roman qu’un moment de relaxation agrémenté par des fraises juteuses « dans un bol orné d’une ligne dorée », des chocolats aphrodisiaques « sur une belle assiette en argent » et un « Moët et Chandon Brut Impérial » enivrant…

2015-01-19

Un personnage québécois qui déguste des mets catalans

À Barcelona, entre autres, au gré des chapitres de mon « polar » archivistique mettant en vedette le premier détective archiviste québécois spécialisé dans la recherche de documents perdus ou volés, je me suis assuré que celui-ci profite de la gastronomie traditionnelle catalane dans certains restaurants de la capitale de la Catalunya. Des établissements que je connais pour y être allé au moins une fois : la Casa Leopoldo, Los Caracoles, l’Antic Forn, le Cafè de l’Academia…

2015-01-16

Une partie de l’action de mon roman se déroule aux Archives de l’Université Laval

Dans cette fiction romanesque que vous pourrez lire bientôt, je l’espère de tout cœur, l’action se déplace dans les locaux des Archives de l’Université Laval,  au 5e étage du pavillon Jean-Charles Bonenfant, service que je connais bien pour y avoir débuté ma carrière. Il était donc incontournable que le détective archiviste de mon roman y retrouve certaines connaissances.

2015-01-15

Journée de la rose et du livre

On connaît tous la journée de la rose qui correspond également à la journée du livre dans plusieurs pays. Elle trouve son origine en Catalunya. J’ai naturellement intégré cette tradition d’échange de roses contre des livres, tous sexes confondus, dans la trame romanesque impliquent le détective archiviste de mon polar archivistique.

2015-01-14

Toujours en attente d'une réponse positive

Publier le premier roman d’un écrivain inconnu comporte une part de risque pour un éditeur. Le sujet, les caractéristiques des principaux personnages, la langue utilisée dans les dialogues influencent également la décision d’accepter ou non un manuscrit. J’en suis bien conscient et au gré des commentaires reçus, j’ai entrepris la production d’une 9e version du texte afin d’éliminer certains irritants sans faire de concessions importantes qui affecteraient l’originalité du texte.

2015-01-13

Tableau des caractéristiques physiques et psychologiques des personnages de mon roman

En début de rédaction et au cours de l’évolution du récit, j’ai créé une fiche décrivant chacun des personnages principaux de mon roman : âge, lieux de naissance et de résidence, caractéristiques physiques (cheveux, yeux, visage, taille, détails particuliers), habitudes alimentaires et vestimentaires, traits de caractères… Le tout pour assurer une intégrité au fil des événements.

2015-01-09

Certains personnages de mon roman sont « traités aux petits oignons ».


Dans une œuvre romanesque, un auteur peut se permettre tous les phantasmes. Par exemple, faire la traversée de l’Atlantique en classe affaires, du Québec vers l’Europe ou vice versa. Et profiter des services et de menus exceptionnels concoctés par des chefs de renom, comme ont la chance de le faire deux de mes personnages.

2015-01-08

Des effluves chocolatées qui perturbent un enquêteur


Lorsqu’il amorce une enquête, un inspecteur de la Sûreté du Québec doit se concentrer sur les événements et sur la scène d’un crime. Quoi de plus dérangeant que d’être distrait par des exhalations à saveur de chocolat !

2015-01-07

La quête du feu de la Saint-Jean sur le Canigou


Depuis que je connais cette tradition catalane, j’ai toujours rêvé de faire l’ascension sur le Canigou, cette montagne mythique où chaque année, lors du solstice d’été, des centaines de Catalans se réunissent au sommet pour allumer et rapporter dans leurs villages le feu de la Saint-Jean. J’ai fait vivre cette expérience émouvante à un de mes personnages.

2015-01-06

Deux chapitres de mon roman ont pour décor les Archives nationales du Québec


La salle de recherche du Centre d’archives de Québec des Archives nationales du Québec, dans le pavillon Louis-Jacques Casault, sur le campus de l’Université Laval, et le système informatique Pistard de recherche dans les fonds d'archives sont au cœur d’une des enquêtes de mon détective archiviste.

2015-01-05

Quelques statistiques sur mon roman en attente de publication


Il a été écrit entre juin et décembre 2013. La 9e version du manuscrit comprend plus de 450 pages en Times New Roman 12 points à un interligne et demi. Le récit s’étale sur 58 chapitres + un prologue et un épilogue et est composé de 165 379 mots.

2015-01-02

Si les brebis pouvaient parler…


…le détective archiviste de mon roman aurait pu interroger leurs descendantes dans leur étable. Celles-ci auraient pu le mettre sur une piste et peut-être accélérer son enquête. Mais elles ne savent que bêler.