2023-12-31

Synopsis hypothétique d’un thriller apocalyptique


(Fiction - Toute ressemblance avec des personnes, des lieux et des événements est le fruit de l’imagination)

Un journaliste d’un des grands médias new-yorkais est trouvé mort dans les toilettes du Museum of Modern Art (MOMA). L’autopsie permet de conclure à un suicide d’autant plus qu’une clé USB est découverte dans son estomac. Le journaliste y a sauvegardé la documentation et le texte d’une vaste enquête internationale qu’il menait depuis quelques mois.

Le FBI découvre que le Président a conçu un plan machiavélique avec la complicité de celui de la Russie pour prendre sa revanche sur les attaques concernant son intégrité et la risée qu'en font ses détracteurs et les médias. Avec comme objectif de contrôler les ressources de la planète.

Dans un laboratoire secret hébergé dans une de ses propriétés, il a fait développer un virus aux propriétés inconnues à ce jour et planifié de le répandre sournoisement à l’échelle planétaire. Et un antidote pour son usage personnel afin de protéger son entourage immédiat et son réseau de partenaires et de collaborateurs.

La Chine très populeuse avec qui il a de nombreux contentieux a été identifiée comme le foyer idéal de propagation. La pandémie détournera l’attention du monde jusqu'au moment de sa réélection trafiquée à la présidence.

Le virus se répand de façon exponentielle. Après avoir côtoyé un chef d’état atteint de la maladie en visite à la Maison-Blanche, le Président est en mesure de démontrer son invincibilité suite à des tests négatifs sur sa personne.

Plus que jamais, l’avenir de la planète est entre les mains d’un génie stable qui possède une arme biologique de destruction massive propre pour l'environnement et plus dévastatrice que les bombes à fission ou à fusion nucléaire.

Les événements prennent toutefois une tournure inattendue et la pandémie qui en découle semble devenu incontrôlable, même sur son territoire.

Une solution imparable émerge... au cœur de l'Afrique. 

(c) 2020 Michel Roberge - Tous droits littéraires réservés y compris pour toute production télévisuelle et cinématographique
 
 
 

Genèse de « Zébrures écarlates » et pour la suite...

L’idée d’un polar mettant en vedette un détective archiviste – Ives d’Arch, un personnage dont  le nom inversé convient particulièrement à sa profession initiale (aptonyme) – est née du souci de souligner une réalité universelle dans le monde des archives : la disparition, la subtilisation ou le vol de documents à des fins stratégiques, politiques, voire économiques. Et également de créer de toute pièce un héros québécois hors du commun qui devrait intéresser étudiants et praticiens passionnés par le domaine comme je l’ai été pendant 40 ans de ma vie professionnelle.

En imaginant cette histoire fictive, j’avais entre autres en mémoire la confiscation par les franquistes, à la fin de la guerre civile, de l’équivalent de plusieurs wagons de chemin de fer d’archives catalanes entre autres associés à l’opposition républicaine au régime en place à Madrid. Ces documents, mieux connus sous le nom de « papiers catalans » ou « documents de Salamanque » ont été entreposés au cœur de la Castille, à Salamanca où le général Franco avait installé son quartier général, peu après le début de la guerre, et y avait créé le Bureau d'investigation et propagande anticommuniste.

Dans les années 90, dans le cadre d’une conférence prononcée à Salamanca, j’ai eu le privilège de voir une partie de ces archives accumulées, au fur et à mesure des conquêtes territoriales du camp franquiste : toutes sortes de documents, des fiches individuelles, des photos d'organisations politiques, syndicales ou culturelles du camp républicain… Un matériel qui a servi à la répression des opposants du régime jusqu’au milieu des années soixante.

Zébrures écarlates est une histoire inventée à propos d’un document catalan fondateur dont l’issu est inspirée des bribes d’une conversation en les écrivains Umberto Ecco et Jean-Claude Carrière publiée en 2009 chez Grasset sous le titre N'espérez pas vous débarrasser des livres.

Le récit de Zébrures écarlates se caractérise également par une constante : la dualité. Les documents disparus, un au Québec (brève allusion) et l’autre en Catalogne. Les deux enquêtes du détective. Les spécialités du personnage principal : détective et archiviste. Ses deux grands amours. Les couples d’orientations sexuelles différentes. La bisexualité du héros. Les deux céramiques murales du même artiste. Les doubles assassinats, un au Québec et l’autre en Catalogne. Les deux archivistes catalans. Les deux exemplaires du document disparu. L’omniprésence des rayures. Les deux voyages du héros en Catalogne. D’où les zébrures.

Une suite à ce roman ? L’épilogue de Zébrures écarlates le suggère. Bien sûr, la thématique peut aussi être explorée au Québec, et pourquoi pas aux Archives nationales dans un contexte de complot visant à... Je garde le suspens alors que je suis en cours de documentation de cette deuxième aventure de mon héros pour lequel il n’y a aucun équivalent littéraire.

Le titre est déjà trouvé. Le scénario général et la finale sont déjà imaginés. La Catalogne culinaire s’invitera. L’histoire ancienne et récente du Québec sera omniprésente. J’y intégrerai des événements vécus et, encore une fois, je vous ferai déambuler dans les rues de ma belle ville et peut-être vous faire découvrir des lieux moins connus. KGB, le conjoint de Ives d’Arch, Claude Bouquin de la librairie Pantoute, l’inspecteur de la Sûreté du Québec Jean-Claude Le Bœuf, l’ami Marcel Théberge, le docteur Gingras de l’Hôtel-Dieu de Québec, Romuald Bédard et Marie-France des Archives nationales... ainsi que plusieurs nouveaux personnages d’hier et d’aujourd’hui – réels et créés de toute pièce – évoluerons dans cette fiction à laquelle je souhaite m’attaquer avant la fin de l’année 2021.

Comme je l’ai mentionné dans un billet précédent, j’utiliserai pour la première fois le logiciel Scrivener pour me faciliter la tâche de documentation, de rédaction d’un plan et d’écriture.

2023-11-13

Zébrures écarlates : commentaires d'un lecteur de Toulouse

Salut Michel, je voudrais te faire un commentaire personnel sur les zébrures. 

En fait, je regrette  que tu ne veuilles pas continuer. Il y a certes d'après mon humble avis des erreurs de premier roman mais une meilleure maison d'édition t'aurait fait gommer ces quelques petites erreurs. 

J'avoue aussi avoir éprouvé un sentiment de malaise avec toutes ces scènes intimes homosexuelles. J'ai passé certains passages. En ce qui me concerne, personne dans mes lectures n'a été aussi loin dans l'acceptation d'un fait de société. J'aurai pas le choix de m'y habituer. Je ne sais pas si on t’a fait des commentaires à ce sujet, mais il fallait le faire.

2023-05-15

Limoiloustalgie : commentaires d'une lectrice de Lévis


Merci pour la lecture sur Limoilou. Ça m’a fait voyager dans le temps et l’espace. Tu écris très très bien. Et tellement de détails. Ou tu as une mémoire phénoménale ou tu es un excellent recherchiste, ou les deux probablement.

2023-04-25

Limoiloustalgie : commentaires d'une lectrice de Lévis


J’adore car ça me rappelle plein de souvenirs. Nous avons vécu dans des univers assez semblables. Tu écris merveilleusement bien. Et tu as une mémoire phénoménale. Je crois que si je m’y mettais je pourrais me rappeler pas mal de détails aussi. Les appartements de mes grands parents me remontent en mémoire au fur et à mesure de ma lecture. C’est drôle. Le piano et le gramophone de ma grand mère maternelle, les immenses fougères de ma grand mère paternelle qui ornaient le grand salon toujours fermé avec ses meubles recouverts de draps, et son excellent sucre à la crème blanc.

2023-03-06

J’ai tué mon Auteur : commentaires d’une lectrice d’Ardèche

 


J’ai lu J’ai tué mon Auteur et, je suis désolée, mais je n’ai pas accroché. Le fait qu’un personnage fictif prenne vie ne me gêne pas, mais l’histoire ne correspond pas à ce que je pensais trouver. J’étais partie pour une histoire fantastico-policière.

Ça prend une tournure trop philosophique, axée sur la « relation » auteur-lecteur-personnages-éditeur et sur la « construction » d’un livre. Et ça supplante l’intrigue. L’idée est originale et l’écriture très agréable mais ça n’a pas matché.

2023-01-29

J'ai tué mon Auteur : commentaires d’une lectrice de Bécancour


Je ne connaissais pas l'auteur et j'étais bien curieuse de découvrir son univers...  Je peux dire qu'il m'a bien surprise, car il a eu l’idée originale de renverser les rôles et de nous présenter de façon fantaisiste les relations étroites, mais complexes entre les auteurs et leurs personnages...  On découvre aussi les nombreuses difficultés auxquelles font face les auteurs pour réussir à publier et faire la promotion de leurs livres.  Mais... quand c'est le personnage qui prend les choses en main... tout peut arriver !

Victor Vanier, le personnage principal d'un roman, se sent victime de son auteur lui infligeant un rôle de criminel sadique dans un thriller au succès mitigé. Il décide alors d'éliminer son créateur. 

En un premier temps, il nous fait part de ses mésaventures, élaborées par son auteur; puis, se sentant manipulé, il se transforme en auteur-éditeur, afin de prendre les rênes du pouvoir et d'assurer le plein contrôle de la publication du manuscrit. 

Une invitation à un talk-show de grande écoute lui permet enfin de montrer sa démarche de revalorisation liée au travail de ses homologues (les personnages) et des écrivains eux-mêmes de façon générale. C'est le moment pour ce grand personnage de savourer ses 20 minutes de gloire ! En effet, Victor Vanier, devenu intouchable, immonde assassin, créateur littéraire et nouvel entrepreneur culturel est, dès lors, convaincu d'avoir réussi à clamer la reconnaissance de ses pairs. Son créateur lui, celui qui l'a inventé, a échoué.

2023-01-25

J'ai tué mon Auteur - Prologue


Et si, la lecture du prologue de « J’ai tué mon auteur » vous donnait le goût de vous le procurer dans la boutique en ligne des éditions Noir Québec (https://bit.ly/3Hah8O4) ou de l’emprunter à votre bibliothèque municipale !

 

Je l’avoue.

J’ai assassiné CELUI qui m’a créé, qui m’a imaginé, qui m’a donné vie.

Et j’ai prémédité ce meurtre avec rancœur.

D’entrée de jeu, je vous fais grâce d’une constante dans tout bon polar: celle de l’épilogue qui vous ferait découvrir le responsable improbable de cette vengeance après une enquête truffée de rebondissements tout aussi déroutants les uns que les autres. De surcroît, je vous épargne de longues descriptions des lieux et des décors où se déroule l’action. Sans détour, je plaide publiquement coupable d’un homicide mûrement planifié.

Je ne cours aucun risque en avouant mon crime.

Aucun policier ou détective d’une instance municipale, nationale, voire internationale, ne peut me mettre la main au collet.

Aucun procureur général de la poursuite ne peut porter quelque accusation que ce soit contre moi.

Aucun avocat, même le plus véreux, ne peut me défendre.

Aucun jury ne peut me déclarer coupable.

Aucun juge ne peut m’infliger une peine.

Je suis un personnage fictif sans existence réelle. En toute impunité, je peux passer aux aveux sans aucun risque.

J’ai donc pris la décision de publier moi-même mon récit.

D’en assurer sa diffusion; sa vente dans des boutiques en ligne; sa disponibilité dans des magasins à très grandes surfaces, exposé derrière un barrage de babioles en tout genre, ou mieux, dans des librairies indépendantes;

D’en voir son accessibilité dans un maximum de bibliothèques; son éventuel accueil par la critique dans les médias traditionnels et sur les réseaux sociaux, même si je ne me fais pas d’illusion.

Enfin de jouir de son acquisition par un grand nombre de lect…

Le rêve et la finalité de tout écrivain.

Et qui sait, porté à l’écran par un réalisateur empathique grâce aux investissements publics ou à l’enthousiasme des Netflix de ce monde.

Après tout, ce n’est pas tous les jours que le personnage principal d’un roman se transforme en auteur pour raconter sa propre histoire pathétique.

Vous qui tenez entre vos mains cette plaquette en fibres végétales ou dématérialisée que vous avez achetée ou empruntée, je vous remercie pour l’audace de votre choix.

Tel Ulysse appâté par le chant fatal des sirènes mythologiques, vous n’avez pas succombé au charme enjôleur des vedettes hypermédiatisées en ne vous précipitant pas vers elles malgré une forte tentation.

Je suis d’autant plus motivé de partager avec vous ce que vous ignorez du monde «idyllique» de l’édition.

Permettez-moi d’abord de soulever une question existentielle à laquelle nous, personnages de romans, nous heurtons toutes et tous.

Imaginez un instant que vous soyez le protagoniste d’un auteur inconnu du grand public, le héros d’une première fiction à vie, tous genres littéraires confondus. Savez-vous que, sans même avoir exprimé votre volonté, votre avenir en tant que personnage est hypothéqué à long terme, voire à tout jamais, avant même votre première apparition dans le récit ou la citation de vos premières paroles précédées d’un tiret allongé? N’est-ce pas là une prémisse d’en vouloir à mort à celui qui s’est octroyé le droit de disposer de votre avenir? À celui qui a choisi pour vous votre destinée irrévocable, particulièrement si elle n’est pas à la hauteur de vos ambitions?

Mettez-vous à ma place: convenez que, comme moi, vous désireriez vous libérer du fardeau imposé par celui qui vous aurait entraîné dans une aventure catastrophique !

Vous croyez que j’exagère?

Laissez-moi témoigner, pour ma défense, et vous exposer en long et en large, les motifs pour lesquels j’ai d’abord souhaité, puis planifié et enfin mis en scène l’assassinat de mon AUTEUR. Avec ce qu’IL m’a fait subir, vous auriez probablement suivi mon parcours, au risque, dans votre cas puisque vous existez réellement, d’être condamné pour un crime presque parfait. Comme vous le verrez, je suis pleinement en mesure de justifier les gestes qui ont permis d’assouvir ma colère refoulée et d’étancher ma soif de vengeance. En L’éliminant de l’écosystème éditorial de façon aussi catégorique, je peux devenir moi-même un personnage-auteur célèbre, un héros mythique, statut que sans nul doute devrait me consacrer le sérail fermé de mes pairs.

Installez-vous bien confortablement et laissez-moi vous raconter le drame déchirant de ma vie virtuelle.


2023-01-07

Zébrures écarlates : commentaires d’un lecteur montréalais

C'est un incroyable thriller. Une enquête qui nous fait voyager, aller dans toutes les directions. Ça m'a pris la semaine à le lire. J'ai commencé lundi matin et je viens de terminer les 615 pages.

L'histoire ne se résume pas. Je peux dire que c'est l'enquêteur Ives d'Arch qui cherche à trouver un précieux document, disparu en 1954, des Archives de la Couronne d'Aragon à Barcelone. Dans ce roman, on parle de la Catalogne et de l’histoire du Québec. Il y a beaucoup de détails. Il faut aimer quand l'histoire va de gauche à droite et de droite à gauche, si je peux m'exprimer ainsi. Mais, il y a aussi de l'émotion. On s'attache à Ives et son conjoint KGB. On parle d'homosexualité (ou plutôt de bisexualité) dans un milieu où les préjugés sont encore malheureusement présents. L'auteur ne se gêne pas pour aller dans des détails de leur vie intime. Certains passages sont 18 ans et plus, si vous comprenez ce que je veux dire.

Bref, je le recommande à tous ceux et celles qui aiment les polars. J'ai bien apprécié aussi les liens YouTube que j'ai pu suivre dans le document.


2022-11-25

J’ai tué mon AUTEUR : commentaires d’une autrice de Québec


« Procédé d’écriture génial. Chapeau.

Devrait être proposé dans tout atelier d’écriture, dans tout cours de récréation littéraire, à tous ceux qui veulent écrire. »

2022-11-23

Chronomeurtres : commentaires d’un Issoirien (département du Puy-de-Dôme)


« Terminé Chronomeurtres ! Une intrigue joliment ficelée, des personnages attachants, des détails millimétriques et la ville de Québec en toile de fond. Je la connais un peu, mais je suivais les personnages sur Google pour revoir cette cité! Merci pour ce bon moment de lecture ! »

Le Chat et le Canari – Commentaires de Jean-Louis Blanchard

« J’aurais beaucoup à vous dire à propos de ce récit politique qui m’a d’ailleurs captivé d’un bout à l’autre (sans vouloir faire de comparaisons boiteuses, son développement m’a rappelé le film Z de Costa Gavras).

Mais commençons par ceci : mieux qu’un manuel d’histoire, ce roman nous plonge directement au cœur de l’action et arrive à nous faire « palpiter » au rythme des cœurs catalans. Pour avoir su pénétrer si profondément et si intensément ces heures (qui se traduisent en années) de préparation jusqu’au jour du référendum, j’imagine que l’auteur a dû lui-même se trouver littéralement happé par l’élan fabuleux de ses amis catalans… D’ailleurs, les noms de Marcel Théberge et Diane Larose ne rappellent-ils pas étrangement ceux de Michel Roberge et Denise Latulippe…? 

Tout au long de ma lecture, je pouvais à mon tour « toucher » et participer à la quête catalane pour un pays et pour la farouche défense de ses droits démocratiques. En passant, bravo pour les clins d’œil en parallèle avec la situation québécoise. C’est vraiment bien mené…

Bref : un livre remarquable à bien des égards, et j’ose croire qu’il obtiendra un vif succès auprès de tous ceux qui s’intéressent à la chose politique en général, et à la cause catalane en particulier. Chapeau ! »

2022-10-05

J’accroche mes patins­... d'écrivain

Qu’est-ce que j’ai fait ou n’ai pas fait pour que les médias, les critiques littéraires, les blogueuses et les blogueurs boudent mes sorties de livres ?

  • Parce que ces derniers sont auto publiées ou en format numérique ?
  • Parce que les thèmes traités sont sans intérêt ?

Après 3 ans de promotion intensive sur les réseaux sociaux et des résultats décevants (les chiffres parlent par eux-mêmes) – sauf des centaines de « J’aime » – j’accroche définitivement mes patins.



Je me consacrerai désormais à partager mes Avis de lecture sur mon site Web qui compte plus de 250 000 visites depuis 2017, répliqués sur Babelio, ainsi que mes Notes de lecture. À partager sur les réseaux sociaux des informations sur la littérature en général, la création littéraire, la promotion des œuvres publiées et leur diffusion, particulièrement les polars, les thrillers et les romans noirs. Et à collaborer à titre de membre du jury de la présélection des premiers romans en lice annuellement pour le prix littéraire Québec-France Marie-Claire Blais. Sans oublier mes réflexions politiques.

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Auteurs/autrices et éditeurs/éditrices de polars, thrillers, romans noirs, etc, si vous souhaitez que je publie un avis de lecture, inscrivez-moi sur votre liste de service de presse et faites-moi parvenir vos récentes publications :

     Michel Roberge

     Casier postal 47012

     Succusale Sheppard

     Québec, Qc (Canada)   G1S 4X1

     michelroberge5090@gmail.com

* * * * *

Mes livres demeureront toutefois disponibles dans les boutiques en ligne de plusieurs librairies et, avec dédicaces, dans celle des Éditions Noir Québec, au cas où… 


Merci à celles et à ceux qui ont osé s'immiscer dans mon univers littéraire !

2022-09-21

Le Chat et le Canari : Premiers commentaires en provenance de Catalogne


« Je suis impressionné par ta grande connaissance de la Catalogne et de notre histoire contemporaineCette édition est fantastique. Et ce fut un plaisir d'y pouvoir faire une petite collaboration. Per Molts Anys ! Una abraçada. »

August Bover I Font, professeur émérite de l’Universitat Autonoma de Barcelona 

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« Michel ! Molt content que un llibre així existeixi al Quebec ! »

Joan-Lluís Lluís, écrivain de Catalogne du Nord. 

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« Estic emocionat quan llegeixo les teves paraules respecte a la teva vinculació amb Catalunya, la teva terra també. Felicitats !!!! Gràcies per esdevenir l’ambaixador català a les terres québécois. » 

Joaquim Borras Gómez, directeur des Archives de la ville de Barcelona. 

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« L'últim llibre de'n Michel Roberge, quebequés, gran arxiver i mestre d'arxivers i entusiasta catalanòfil. Si aquest llibre pogués venir aquí !!! » 

Anna Duran Armengol, ex-professeur d’histoire à Escola Proa et ex-archiviste à l’Arxiu Nacional de Catalunya


2022-05-25

Limoiloustalgie – Enfin les commentaires d’un lecteur!

« Juste un mot pour vous dire que j’ai beaucoup aimé me balader à travers votre Limoilou…

Ce livre, empreint de tendresse et de souvenirs, porte tellement bien son nom !

J’ai particulièrement apprécié les passages où vous nous permettez de « toucher » à votre enfance…

Celui, par exemple, où vous parlez des jouets avec lesquels vous vous amusiez chez vos grands-parents…

J’avais l’impression de replonger dans une partie de ma propre enfance.

De très beaux moments de lecture !

Merci ! »