2017-08-22

Zébrures écarlates : la suite


La suite des aventures du détective archiviste québécois, Ives d’Arch, est en gestation. J’ai déjà trouvé un titre accrocheur provisoire (devant être approuvé par l’éditeur). J’ai bien hâte de vous le faire découvrir. La thématique du récit est arrêtée. La séquence des événements se précise. L’action se déroulera presque exclusivement à Québec et à Ottawa. Il sera encore question, évidemment, de documents d’archives disparus, avec des références historiques québécoises et canadiennes des années 70 à la fin de 2009. Sur fond de complot politique. 

2017-08-15

Zébrures écarlates : première mention publique du nom du héros


Au cours des années 90, je publiais un magazine, ARCHI-MED, dont le contenu portait sur différents aspects de la gestion des documents et des archives et un article traitait de la gestion documentaire en Catalogne. En mai 1993, dans un numéro qui annonçait que le prix annuel de l’Association des archivistes du Québec nous avait été attribué, le nom du détective archiviste Ives d’Arch y apparaissait pour la première fois, dans une graphie différente. Il signait le mot croisé thématique. 

2017-08-08

Zébrures écarlates : commentaires d’un lecteur liégeois


Voici les commentaires reçus d’un lecteur de Liège, lui-même auteur de polars wallon qui a déjà publié quatre romans :

« Je viens de terminer  "Zébrures écarlates". J'ai pris mon temps, partagé entre sa lecture et l'écriture de mon nouveau polar. Avec des mots très simples, je dois reconnaître que pour un coup d'essai, ce fut un coup de maître. Superbe récit, avec un style parfait, simple et direct, une documentation incroyable, une atmosphère typiquement québécoise que j'ai adorée. Autre impression ressentie : celle d'être en contact direct avec une réalité "vraie" et de s'inclure totalement dans le fil du récit et dans la vie de ses acteurs. Comme si l'on en faisait partie. Encore bravo, Michel ! Ce furent des moments de grande intensité. »

2017-08-01

Zébrures écarlates : le condo de Ives d’Arch


Si vous avez lu la première enquête du détective archiviste québécois Ives d’Arch  et que vous déambulez dans le Vieux-Québec, vous repérerez facilement l’oriel du condominium où il réside (virtuellement, puisqu’il s’agit d’une fiction) en compagnie de KGB.  Une fenêtre en sailli qui permet de jeter un œil à 180 degrés sur une des étroites rues de la vieille ville bordée de maisons anciennes de différentes époques.