Le protagoniste de mon troisième roman a recommencé à me « chicoter », comme on dit en québécois.
Au cours des derniers jours, ce sinistre individu est revenu me hanter, me sommant de récupérer les 42 premières pages (71 600 caractères) du manuscrit stocké en sécurité dans les nuages que j’avais cessé d’écrire en décembre 2016.
Ce
personnage « en veut à mort » à son auteur qui l’a entraîné, bien malgré lui, dans
une aventure aux conséquences insoupçonnées. Il souhaite que je termine ce roman
noir afin de pouvoir donner libre cours à son funeste projet d’ici la fin 2020…
dans une chute de son cru.
Je
me suis donc remis à mon clavier.
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