Si vous
avez lu la première enquête du détective archiviste québécois Ives d’Arch et que vous déambulez dans le Vieux-Québec,
vous repérerez facilement l’oriel du condominium où il réside (virtuellement, puisqu’il
s’agit d’une fiction) en compagnie de KGB. Une fenêtre en sailli qui permet de jeter un œil
à 180 degrés sur une des étroites rues de la vieille ville bordée de maisons
anciennes de différentes époques.
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