Pendant que mon éditeur s'affaire pour donner vie à mon roman, j’aimerais partager avec
vous cette autre réflexion du romancier suisse Joël Dicker, un de mes auteurs préférés :
« Le dernier chapitre d’un livre, […], doit toujours être le plus beau. »
La vérité sur l’affaire Harry Quebert (Paris : Éd. de Fallois, 2012),
ch. 1.
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