Pendant que mon éditeur s'affaire pour donner vie à mon roman, j’aimerais partager avec vous cette autre réflexion du romancier suisse Joël Dicker, un de mes auteurs préférés :
« Un nouveau livre, […], c’est une nouvelle vie qui commence. C’est
aussi un moment de grand altruisme : vous offrez, à qui veut bien la
découvrir, une partie de vous. Certains adoreront, d’autres détesteront.
Certains feront de vous une vedette, d’autres vous mépriseront. Certains seront
jaloux, d’autres intéressés. Ce n’est pas pour eux que vous écrivez, […]. Mais pour tous ceux qui, dans leur
quotidien, auront passé un bon moment grâce à [vous]. »
La vérité sur l’affaire Harry Quebert (Paris : Éd. de Fallois, 2012),
ch. 5.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire