2017-10-26

Zébrures écarlates : fiction et réalité historique catalane


Dans les médias et les réseaux sociaux, il est beaucoup question de la Catalogne, particulièrement depuis la tenue du référendum du 1er octobre 2017. Répressions violentes contre les individus et répressions politiques ont fait et continuent de faire le tour de la planète.

Zébrures écarlates, une allusion aux quatre bandes rouges du drapeau catalan, est le récit fictif de la disparition, en 1954, sous la dictature de Franco, d’un document important pour l’histoire de la Catalogne. Et de sa recherche en 2008-2009 par un détective archiviste québécois à la demande du ministère de la Culture catalan.

Une référence à la confiscation par les franquistes, à la fin de la guerre civile, de l’équivalent de plusieurs wagons de chemin de fer d’archives catalanes entre autres associés à l’opposition républicaine au régime en place à Madrid. Ces documents, mieux connus sous le nom de « papiers catalans » ou « documents de Salamanque » ont été entreposés au cœur de la Castille, à Salamanca où le général Franco avait installé son quartier général, peu après le début de la guerre, et y avait créé le Bureau d'investigation et propagande anticommuniste.

Dans les années 90, j’ai vu une partie de ces archives accumulées, au fur et à mesure des conquêtes territoriales du camp franquiste : toutes sortes de documents, des fiches individuelles, des photos d'organisations politiques, syndicales ou culturelles du camp républicain… Un matériel devant servir à la répression des opposants du régime jusqu’au milieu des années soixante.

Je me suis donc inspiré en partie de cette réalité historique pour inventer une histoire mettant en vedette des personnages fictifs et qui s’inscrit aussi dans une réalité archivistique universelle : le vol de documents conservés dans des centres d’archives publics ou privés à des fins pécuniaires, culturelles et… politiques. Ce dont le Québec n’a d'ailleurs pas été épargné au cours des dernières années. Une thématique qui sera au coeur des prochaines aventures de Ives d'Arch.

Zébrures écarlates est incrusté dans la grande histoire québécoise et catalane. Ce roman transporte le lecteur dans le temps et dans l’espace (la ville de Québec, la Mauricie, la Catalogne [Barcelona et Girona], la Catalogne du nord [sud de la France] et Paris). En filigrane, il fait foi de la violence et de différentes formes de répression que peuvent subir, encore de nos jours, des individus et des institutions démocratiques.

Pour commander votre exemplaire : http://bit.ly/2rG0voA

2017-10-24

Zébrures écarlates : une incursion dans le milieu archivistique


Quand le monde des archives et le métier d’archiviste devient une source d’inspiration pour la création littéraire et l’émergence d’un nouveau personnage romanesque hors du commun : la disparition, le vol ou le pillage de documents d’archives pour des raisons pécuniaires ou politiques, une thématique quasi universelle.

Avec un héros qui a le plus grand respect des documents d’archives, la mémoire d’une entreprise, d’une institution publique, d’une nation : dans Zébrures écarlates, Ives d’Arch, Québécois d’origine, premier détective archiviste dans la littérature de genre, part à la recherche d’un document catalan important disparu des Archives de la Couronne d’Aragon, à Barcelone, dans les années 50.

Une première aventure qui se déroule en 2008-2009 et qui le plongera dans l’histoire de la Catalogne pendant et après la dictature de Franco. Une fiction connectée à une réalité historique catalane et québécoise.

2017-10-19

Tout est prêt pour la 1ère édition du Salon littéraire du Québec dans les Bois-Francs


Avec des exemplaires du roman, des signets et des stylos écarlates pour les dédicaces, je vous attendrai à la table 40.


De plus, je serai en direct sur Facebook, samedi matin, au moment de l’inauguration officielle. 

2017-10-18

Couleurs et littérature


Faites d’une pierre deux coups les samedi et dimanche 21 et 22 octobre : une petite balade dans les Bois-Francs pour admirer les dernières couleurs de l’automne et une visite au Salon littéraire du Québec à Victoriaville où vous attendront soixante auteurs et de nombreux artistes au Complexe Sacré-Cœur, 905, boul. des Bois-Francs entre 9 h et 16 h. J'y serai, à la table 40, pour vous dédicacer mon roman Zébrures écarlates.

2017-10-17

60 auteurs passionnés au Salon Littéraire du Québec à Victoriaville les 21 et 22 octobre.


Et j’y serai, à la table 40, afin de vous dédicacer, au Complexe Sacré-Cœur, 905, boulevard des Bois-Francs Sud, entre 9 h et 16 h, votre exemplaire de mon roman Zébrures écarlates dont l’action se déroule au Québec et en partie en Catalogne.

2017-10-12

Zébrures écarlates : un rendez-vous au Salon littéraire du Québec à Victoriaville


Qu’ont en commun un détective archiviste, un dénommé KGB, chef pâtissier, une certaine Ginette qui met de la brume dans les lunettes, le général de Gaulle, le défilé du festival de la galette de sarrasin de Louiseville, le général Franco, le pianiste Alain Lefèvre, le sculpteur catalan Jordi Bonet, Adam et Ève, Caïn et Abel ?

Vous le découvrirez en vous procurant mon roman Zébrures écarlates au prochain Salon littéraire du Québec qui se tiendra les 21 et 22 octobre 2017 de 9 h à 16 h au Complexe Sacré-Cœur de Victoriaville, 905, boulevard des Bois-Francs Sud.

2017-10-10

Zébrures écarlates présenté pour la première fois dans la région des Bois-Francs


À Victoriaville, dans le cadre du Salon littéraire du Québec qui se tiendra au Complexe Sacré-Cœur de Victoriaville, 905, boulevard des Bois-Francs Sud, les 21 et 22 octobre 2017 de 9 h à 16 h, j’aurai avec moi les derniers exemplaires de la première édition de mon roman Zébrures écarlates. Il me fera plaisir de vous dédicacer le vôtre.

Une soixantaine d’auteurs vous y attendent : en achetant trois livres d'auteurs différents, d'une valeur minimale de 10,00 $, vous pourrez en obtenir un quatrième gratuitement jusqu'à épuisement des stocks.

Lors de votre visite au Complexe Sacré-Cœur, vous pourrez également rencontrer notre président d’honneur, Richard Gamache, artiste monumental de la région, poète, conteur, musicien, le sculpteur Armand Vaillancourt ainsi que plusieurs artistes peintres locaux, dont Alain Francoeur, artiste peintre de renommée internationale. Martine St-Clair y exposera quelques-unes de ses toiles.

Aussi au programme, la création d'une œuvre en direct, par l'artiste Victoriavilloise Emy Dubois, qui sera mise en vente à l'encan silencieux au profit de la Maison des jeunes de Victoriaville et aussi la création en direct d'une murale avec incrustations humaines par un jeune artiste de la région, Maxime Riverian.

2017-10-06

Zébrures écarlates au Salon littéraire du Québec à Victoriaville


Je vous invite à venir me rencontrer au prochain Salon littéraire du Québec qui se tiendra les 21 et 22 octobre 2017 de 9 h à 16 h au Complexe Sacré-Cœur de Victoriaville, 905, boulevard des Bois-Francs Sud.


J’aurai le plaisir de vous dédicacer votre exemplaire de mon roman Zébrures écarlates qui met en vedette le détective archiviste québécois Ives d’Arch et dont l’action se déroule en partie à Barcelone (Catalogne).  

2017-10-04

Zébrures écarlates : une invitation à vous évader au Québec et en Europe


Venez découvrir un roman qui vous fera voyager au Québec, en Catalogne et en France, Zébrures écarlates, qui met en vedette un personnage hors du commun, Ives d’Arch, détective archiviste de son état.


Séances de dédicaces les 21 et 22 octobre 2017 de 9 h à 16 h dans le cadre du Salon littéraire du Québec qui se tiendra au Complexe Sacré-Cœur de Victoriaville, 905, boulevard des Bois-Francs Sud.

2017-10-03

Zébrures écarlates : commentaires d’un lecteur de Québec


Un ami « … m'a prêté son exemplaire de ton roman que j'ai lu dernièrement avec plaisir. Dès que l'on en commence la lecture, il est difficile de s'arrêter tant on souhaite connaître la suite. L'intrigue est bien ficelée et habilement mise en contexte grâce au constant va-et-vient entre Québec et Barcelone et aux nombreux points de repère familiers qu'il évoque. Les moments de tension extrême (tortures dans la prison, meurtre de [...]) sont décrits de façon convaincante. Le dénouement est particulièrement réussi avec […]. Étant déjà allé à Barcelone, plusieurs lieux nommés dans le roman ont réveillé d'agréables souvenirs. Quant à la langue, sa simplicité et son rythme en rendent la lecture facile et agréable. D'autre part, et ce très justement, le roman tient compte de la réalité des niveaux de langage.

Cela dit, l'intrigue ne prend vraiment son envol qu'à la suite de la traduction de la lettre de Llura (pp. 336-337), car c'est à partir de ce moment que la tension commence à s'installer pour se maintenir jusqu'à la fin. Ce moment aurait dû se produire plus tôt. À mon humble avis, comme disait quelqu'un que nous avons connu, il en a été empêché par l'importance excessive accordée à la relation amoureuse entre d'Arch et Boulanger qui donne souvent l'impression de servir davantage de prétexte à la dénonciation de l'homophobie que de support à l'intrigue [bien vu, cher lecteur].

Petits détails d'édition
La révision linguistique n'a pas permis d'éliminer les quelques emplois fautifs de «définitivement» et certaines répétitions superflues.


À propos, existe-t-il, si ce n'est déjà fait, un projet de traduction du roman en catalan? »